C'est l'histoire de Kevin, âgé de
4 ans et vivant à Stockholm avec sa mère, Mia, qui
est enceinte et dans son troisième trimestre de grossesse.
« J'étais sûr qu'il était mort »,
dit-elle dans un article publié d'abord uniquement dans
la version imprimée du journal Aftonbladet, et plus tard
ajouté à leur site web après que ses lecteurs
lui aient « rappelé » de le faire.
Kevin était assis avec son père dans un café,
lorsque tout à coup, il se mit à trembler de façon
incotrölable. Son petit corps était arqué vers
l'arrière, pris de convulsions, et ses yeux roulaient vers
l'arrière, exposant, seulement le blanc de l'oeuil. Sa mère
n'était pas loin, et quelqu'un est allé la chercher
rapidement en disant « Mia, venez vite, Kevin va vraiment
mal ! ».
Quand elle est arrivée près de Kevin, un cercle
de personnes l’entourait, alors qu’il était
couché à plat sur le sol. « Ses lèvres étaient
complètement blanches. Je n'ai jamais vu une personne aussi
blanche de ma vie. Je l'ai pris dans mes bras, et il était
complètement flasque. Ma seule pensée était
: «Il est mort, il n'est plus en vie !», dit sa mère.
Kevin ne respirait plus. Deux infirmières se trouvaient
là et elles ont expliqué à Mia comment effectuer
un massage cardiaque immédiatement. Mia a commencé à faire
cela alors que, dans le même temps, elle a senti qu'elle
commençait à entrer dans le stade de travail de l’accouchement.
Elle a donné de l’air à son fils pendant que
d'autres appelaient une ambulance. « J'ai perdu la notion
du temps. Mais après un certain temps, ses lèvres
ont retrouvé leur couleur. Il a ouvert les yeux ».
Pendant le trajet vers l'l'hôpital, Kevin n'a exprimé qu'une
crainte : « Maman, je ne veux pas avoir d'autres vaccins. »
Les médecins qui e sont occuppé de lui à son
arrivée à l'hôpital sont d'acord sur le fait
que la seule explication à ceci est le fait qu'il avait
reçu, deux jours auparavant le vaccin empoisonné Pandemrix
contre la « grippe porcine ». Ils ont également
dit : « Il est le second ajourd'hui, ce n'est pas un cas
unique ».
Le journal a contacté l'Agence des produits médicaux
de Suède, et a parlé avec le professeur Jan Liliemark
qui a affirmé qu'il n'avait jamais entendu parler de cas
semblables. « Les enfants peuvent entrer dans des états
comateux pour de multiples raisons. Cela pourrait être relié à la
vaccination, mais il pourrait aussi y avoir d'autres raisons ».
Les parents de Kevin ont choisi de parler de leur épreuve
de façon à ce que d'autres parents puissent être
mieux informés qu’eux. Ils n'ont jamais entendu que
de telles choses pouvaient se produire après une vaccination.
Mia dit : « Que se serait-il passé si cela s’était
produit à la maison pendant qu’il jouait seul dans
sa chambre et pendant que je faisais le ménage en bas ? ».
Nous avons reçu des informations non confirmées
selon lesquelles le nombre des "effets indésirables" du
vaccin en Suède est maintenant bien supérieur à 500,
et comprend des « effets secondaires graves » qui signifient
de symptômes qui mettent la vien en danger même la
mort. Le nombre de décès qui nous a été signalé est
supérieur à 50 jusqu'à présent. Cette
information est non confirmée et les chiffres officiels
sot gardés secrets. Conformément à l'accord également
secret conclu entre la Suède et GSK, Glaxosmithkline, qui
produit le vaccin toxique pandemrix.
Je me suis entretenu aujourd'hui avec un fabricant de vaccins
(un fournisseur de l'API, l'ingrédient actif) à son
usine ici, en Suisse, et ils m’ont dit qu'ils sentaient qu'ils
devaient jouer à la fois dans la production et la fourniture
de ces ingrédients actifs aux plus "grosses" multinationales
pharmaceutiques, puisque ces sociétés sont « si
puissantes ». La personne avec laquelle j'ai parlé pensait
qu’il y avait quelque chose de sérieusement grave
dans la façon dont toute la peur de la « grippe porcine » s'est
déroulée, ainsi que le rôle de l'OMS. La même
personne a également reconnu qu’énormément
de recherches dans le domaine médical, et qui ne supportent
pas les produits planifiés d'autres entreprises, sont cachées
ou enterrées. Les deux personnes auxquelles j'ai parlé ne
prendraient "absolument pas" le vaccin contre la « grippe
porcine ». Elles ont dit que la « grippe porcine » signifiait
de bonnes affaires.
Article original : http://www.aftonbladet.se/nyheter/svininfluensan/vaccinguiden/article6086396.ab,
le 4 novembre 2009.
Traduction : Johan Niklasson
http://trinite.1.free.fr/sante/premieres_victimes.htm
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