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UN PEU DE LOGIQUE, JE VOUS PRIE, MESSIEURS LES EXPERTS !

par Jean-Jacques Crèvecoeur


Pour répondre à cette question cruciale, je vous propose un simple exercice de logique. Exercice qui ne nécessite même pas de connaissances médicales !

PRÉMISSES :

Imaginons que l’Organisation Mondiale de la Santé, que les compagnies pharmaceutiques et que les instances politiques de santé publique nous disent la vérité (on peut rêver).
Imaginons donc qu’il n’y a pas de complot et que toutes ces institutions oeuvrent pour le plus grand bien de la Santé des individus.
Admettons que nous sommes vraiment en situation de pandémie.
Admettons que ce soit vrai que le virus H1N1 – version 2009 ait un potentiel pandémique important.
Admettons que nous pouvons nous attendre à une pandémie aussi grave que celle de 1918 (c’est ce que l’OMS prétend).

RAISONNEMENT :

Alors, asseyons-nous et réfléchissons un instant (car il semble que la réflexion soit une denrée devenue extrêmement rare dans le monde scientifique, politique et médiatique, à l’heure actuelle).

  • Si nous sommes réellement en situation de pandémie (de niveau 6), pourquoi le nombre de morts provoqués officiellement par le virus A (H1N1) - 2009 (en six mois) atteint à peine 3.917 personnes, dont la plupart souffrait déjà de pathologies graves avant de contracter la grippe ( http://www.who.int/csr/don/2009_09_25/en/index.html ) alors qu’une grippe ordinaire tue chaque année entre 250.000 et 500.000 personnes ( http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs211/fr/ (allez voir sous le titre épidémie saisonnière)) ?

À cela, on me répond que c’est vrai que ce virus est très peu virulent, dans sa forme actuelle (même s’il est très contagieux). D’ailleurs, dans l’immense majorité des cas recensés dans le monde (entre 300.000 et 600.000 selon les sources), les personnes atteintes souffrent de fièvre, de toux, de maux de tête, de douleurs musculaires et articulaires, de maux de gorge et d’écoulements nasaux ( http://www.who.int/csr/disease/swineflu/frequently_asked_questions/about_disease/fr/index.html ). C’est-à-dire les mêmes symptômes que ceux de la grippe ordinaire. Et ils se guérissent en restant chez eux, en quatre à dix jours, sans l’aide d’aucune médication et d’aucun médecin.

  • Mais si le virus A (H1N1) - 2009 est si peu virulent, pourquoi alors les pays ont-ils commandé à l’avance 4,9 milliards de doses de vaccins dans le monde, pour immuniser la majorité de la population du globe (6,8 milliards d’individus) ?

À cela, on me répond que « les vaccins constituent l'un des moyens les plus utiles pour protéger les individus pendant les épidémies et les pandémies de grippe. Parmi les autres mesures applicables, figurent l'utilisation de médicaments antiviraux, le maintien d'une distance sociale et l'hygiène personnelle » ( http://www.who.int/csr/disease/swineflu/frequently_asked_questions/vaccine_preparedness/fr/index.html – 3e paragraphe). Remarquez que pas un mot n’est prononcé sur les moyens naturels de renforcer notre immunité naturelle qui nous maintient en vie depuis des millions d’années !!!

  • Si les vaccins constituent une des meilleures protections, sur quelles études se base l’Organisation Mondiale de la Santé pour affirmer cela ? Les experts de l’OMS auraient-ils oublié de lire l’étude internationale la plus complète et la plus exhaustive en la matière, qui concluait récemment « qu’il n’existe pas de preuves de l’efficacité des vaccins anti-grippaux dans aucune des populations étudiées (plus de 65 ans, adultes jeunes, enfants et professionnels de santé) depuis 40 années d’observation en matière de vaccination contre la grippe » ? ( http://www.cochrane.org/ - la Collaboration Cochrane est un groupe complètement indépendant et à but non lucratif qui a rassemblé (entre autres) TOUTES les études existant sur l’efficacité des campagnes de vaccination dans le monde entier, entre 1966 et 2006)

À cela, les plus honnêtes ne me répondent rien. Les autres me répondent qu’il existe d’autres études qui prouvent l’efficacité des vaccins contre la grippe (le problème, c’est qu’aucune source n’est citée par ces experts ou par les instances officielles. Le problème, c’est qu’il n’existe aucune étude qui n’ait été prise en compte par la collaboration Cochrane ! Et le groupe Cochrane fait autorité et référence internationalement, par son exhaustivité (elle reprend TOUTES les études) et par son indépendance (elle n’est financée par aucune compagnie pharmaceutique).

Malgré tout, on m’annonce que la vaccination sera quand même utile pour immuniser tout le monde, car les experts prévoient que le virus A (H1N1) - 2009 risque de muter cet automne dans une forme beaucoup plus virulente et potentiellement mortelle. C’est la fameuse deuxième vague qu’on attend tous !

Ici, pour être capable de suivre le raisonnement des experts, il me faut admettre d’autres prémisses (soyons de bonne composition !).
Admettons que les vaccins soient efficaces (ce qui n’est pas démontré) et que la collaboration Cochrane s’est trompée en interprétant des centaines d’études menées dans le monde entier et pendant quarante ans. Et admettons que le virus pourrait muter cet automne.

  • Comment les experts peuvent-ils affirmer que le virus mutera dans une forme plus grave ? Car cette mutation pourrait aller vers une mutation encore moins dangereuse qu’elle ne l’est !

À cela, on me répond qu’il faut envisager le pire scénario pour protéger la population. Admettons !

  • Dans ce cas, si le virus mutait dans une forme plus grave, comment les autorités de santé publique et les experts justifieront l’efficacité du vaccin actuellement développé ? Car ce vaccin a été conçu à partir de la souche du virus apparu au printemps (le virus non muté et pas dangereux), et non à partir de la mutation potentielle du virus ?
À cela, on me répond que c’est vrai que le vaccin ne serait plus aussi efficace, mais qu’il le serait quand même un peu, car la structure génétique et protéique du virus muté ne serait pas très éloignée de celle de la souche originale.
  • Si cet argument est vrai, pourquoi nous raconte-t-on alors depuis des années que nous devons nous vacciner chaque année parce que le virus de la grippe mute légèrement chaque année et que le vaccin d’une année n’est pas efficace pour l’année suivante ???

De nouveau, à cela, on ne me répond plus rien. Par contre, on m’assure « qu’une surveillance attentive des évolutions du virus A(H1N1) est en cours. Cette surveillance étroite et constante aidera à apporter une riposte rapide si l'on détecte des modifications importantes du virus » ( http://www.who.int/csr/disease/swineflu/frequently_asked_questions/vaccine_preparedness/fr/index.html – 19e paragraphe).

  • Nous voilà rassurés ! L’OMS veille et surveille pour nous ! Mais combien de temps faut-il pour apporter une riposte rapide, si le virus devait muter de manière importante ?

À cela, on me répond qu’il faut compter entre quatre et six mois, pour produire en grande quantité des vaccins à partir du moment où l’on aurait isolé la nouvelle souche virale contre laquelle on cherche à immuniser les individus… Autant dire que nous serons tous atteints par le virus muté avant qu’un nouveau vaccin soit mis au point.

Mais même dans ce cas-là, n’oublions pas que seuls mourront ceux dont le système immunitaire est déjà gravement affaibli ! Comme disait Pasteur sur son lit de mort : « je reconnais que je me suis trompé. C’est Béchamp qui avait raison. Le virus n’est rien. Le terrain est tout ! » Mais ça, c’est un autre débat.

  • Ah oui, j’allais oublier une dernière question : si les vaccins sont efficaces, pourquoi les promoteurs de la campagne de vaccination reprochent-ils à ceux qui la refusent de mettre en danger les personnes vaccinées ??? Ne devrait-ce pas être l’inverse ? Ne serait-ce pas les non-vaccinés qui devraient craindre d’être malades, et non les vaccinés ?

CONCLUSIONS :

  • aucun vaccin contre la grippe n’a jamais démontré son efficacité pour diminuer le nombre de personnes atteintes ou pour diminuer la virulence de la maladie ;
  • le virus A (H1N1), dans sa forme actuelle, ne justifie nullement la mise en place d’une campagne massive de vaccination (et je n’ai pas parlé ici des effets secondaires graves qui risquent de toucher des millions de personnes) ;
  • si le virus mute dans une forme plus grave et plus mortelle, les vaccins préparés actuellement ne seront d’aucune utilité, puisqu’ils ont été préparés sur la base de la souche existant en mai et en juin 2009 !

DONC, DANS TOUS LES CAS, QUE VOUS SOYEZ POUR OU CONTRE LES VACCINS, AUCUN ARGUMENT LOGIQUE NE PARVIENT À JUSTIFIER CETTE CAMPAGNE DE VACCINATION MASSIVE.

PAR CONTRE, CETTE CAMPAGNE SE PRÉPARE AU MÉPRIS DU RESPECT DE NOTRE INTELLIGENCE ET DE NOS LIBERTÉS.
AVEC LA COMPLICITÉ DES DIRIGEANTS POLITIQUES, DES HAUTS FONCTIONNAIRES ET DES MÉDIAS.

Rien que cela devrait suffire à stopper définitivement cette campagne où les experts se prennent les pieds dans leurs propres mensonges et dans leurs propres incohérences.

Texte rédigé par Jean-Jacques Crèvecoeur, épistémologue des pratiques médicales, avec la collaboration de Cyrinne Ben Mamou, PhD, biologiste et docteur en neuro-sciences.

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