La maladie, appelée aussi paralysie
infantile, est due au poliovirus qui se reproduit dans le rhino-pharynx
et les intestins et affecte particulièrement le système
nerveux. Le virus se reproduit aux environs de 37 à 37°5?
Mais il est détruit autour de 39 à 40°. Le froid
est donc un facteur favorisant l'atteinte du système nerveux
par le poliovirus, et l'on recense neuf fois plus de cas dans les
zones froides que dans les zones chaudes. Or, en cas d'infection,
la température monte brutalement et, si on laisse faire, aucune
séquelle ne subsistera. En revanche, si l'on tente de faire
tomber la température, le virus se développera et envahira
le système nerveux central.
Il faut savoir que des millions d'enfants sont infectés
par le virus, qui est un hôte commensal des intestins, sans être
affectés par la maladie.
Dans son ouvrage, le Dr Jean Pilette, médecin belge qui
a tout particulièrement étudié cette maladie,
signale que le vaccin anti-coquelucheux et le vaccin anti-diphtérique "sont
capables de provoquer une poliomyélite située préférentiellement
dans le membre inoculé, (cf. Nous te protégerons,
La Poliomyélite... quel vaccin ? Quel risque F)
II confirme ainsi la mise en garde des Dr Anderson et Skaar qui
ont étudié 2 709 cas et ont constaté une augmentation
significative des cas dans les quelques semaines suivant une autre
vaccination, diphtérie, coqueluche, ou tétanos -
qui a rendu virulent le virus de la polio. C'est ainsi que l'on
a observé des pics épidémiques quelques années
après la vaccination systématique contre la diphtérie.
Au cours du second Congrès international de la polio, les
Dr Anderson et Skaar ont démontré la relation entre
le siège de la paralysie et l'endroit de l'injection vaccinale.
La maladie était d'autant plus grave que la vaccination était
récente (cf. Pediatrics, juin 1951).
Le Dr Morton Klein, de Philadelphie, souligne que 95 % des gens
sont naturellement immunisés contre la poliomyélite
en dehors de toute vaccination.
LE VACCIN
On a inoculé le vaccin Salk, ainsi nommé d'après
le biologiste qui l'a mis au point, à des millions d'enfants à travers
le monde jusqu'en 1963, alors que dès 1960, Bernice Eddy,
chercheur salarié par le gouvernement américain,
puis Sweet et Hilleman avaient découvert qu'il était
contaminé par le virus SV 40 du singe, inconnu jusqu'alors.
Ce virus est responsable de cancers chez certaines espèces
animales et des expériences ont démontré que
des cultures de tissus humains se cancérisent à son
contact (cf. New England Journal of Medicine, 9-4-92).
Près de six millions de personnes ont ainsi été exposées
au SV 40 contenu dans ce vaccin, cultivé sur des cellules
empoisonnées, alors qu'Harvey Schein, du département
de bactériologie et d'immunologie du Centre Médical
de l'Hôpital pour Enfants de Boston, laissait clairement
entrevoir l'ampleur de la catastrophe, (cf. Rapport de l'Académie
Nationale des Sciences des États-Unis, vol. 48, 1962). C'est
alors que Joshua Lederberg, prix Nobel de médecine en 1958,
déclara : "C'est la plus grande des chances que cet
incident n'ait pas provoqué la pire catastrophe médicale
de notre histoire".
Dès 1973, aux États-Unis, le Dr Heinonen a effectué des
recherches sur le taux de cancer des enfants dont les mères
avaient été vaccinées contre la polio au cours
de leur grossesse entre 1959 et 1965. Il a découvert que
le taux de tumeurs cérébrales était treize
fois plus élevé chez les enfants nés de mères
vaccinées que chez les autres, (cf. Intern. J. Epidem. vol.2
n°3 - 1978 - p.229).
De leur côté, en 1981, Krieg et son équipe
publiaient un article qui indiquait que dans 25 % des tumeurs cérébrales,
on retrouvait, non pas la forme sauvage du virus SV 40, mais une
forme bien particulière qui en est dérivée,
(cf. Krieg "Episomal simian virus 40 génomes in human
brain tumors", in Proceeding of the National Academy of Sciences
USA, t.78 (10), p. 6446-6450 ; 1981).
Mais, à cette époque, les pouvoirs publics n'ont
cessé de répéter sur tous les tons qu'il était
pratiquement certain que ce virus ne provoquait pas le cancer. À présent,
on sait que ce virus est non seulement cancérigène
mais également infectieux, donc transmissible par les voies
sexuelles et sanguines.
Depuis lors, les propriétés cancérigènes
de ce virus sont régulièrement mises en évidence,
mais toujours dans le plus grand silence médiatique et l'indifférence
des institutions médicales.
Personne ne pourrait affirmer que l'augmentation effrayante des
cancers et des leucémies depuis la dernière guerre
n'a rien à voir avec ces vaccinations faites avant le retrait
du vaccin.
En 1994, Michaele Carbone et son équipe injectèrent
le virus SV 40 à des centaines de hamsters qui décédèrent
tous d'un mésothéliome au cours des mois suivants,
(cf. M. Carbone, et al., "Simian virus 40 like DNA séquences
in human pleural mesothelioma", in Oncogene, T. 9, p. 1781-1790,
1994).
En 1996, une équipe médicale du Baylor Collège à Houston
a retrouvé le virus SV 40 dans les tissus de patients souffrant
de tumeurs du cerveau et de mésothéliomes. Ce virus
a ainsi été injecté à des millions
de personnes à travers le monde par le vaccin contre la
poliomyélite, et ce n'est que trente ans plus tard, comme
on le craignait et on le craint encore pour d'autres vaccins, que
ses effets néfastes ont été révélés.
En 1996, le Dr Carbone publia une autre étude prouvant
la présence de ces mêmes séquences de SV 40
dans un tiers des ostéosarcomes et dans 40 % d'autres tumeurs
des os. Le chercheur et son équipe précisaient que "les
tumeurs analysées provenaient d'enfants qui ne devraient
pas avoir reçu des vaccins contaminés par le SV 40.
Cependant, la possibilité que ces enfants aient été infectés
par leurs mères qui avaient reçu ce vaccin ne peut
pas être exclue" (cf. Carbone et al, "SV 40-like
séquences in human bone tumors", in Oncogene, t.13,
P- 527-535 ; 1996).
À son tour, le Dr Jane Butel, du Baylor Collège
de médecine à Houston, a déclaré que
le virus est "aujourd'hui présent dans la population
humaine et se répand par une voie inconnue". Dans le
journal du National Cancer Institute, elle précisait que
le virus risque d'être transmis aux enfants de ceux qui ont été contaminés
par le vaccin.
Les 27 et 28 janvier 1997, dans le cadre d'une conférence
sur le "SV 40, a possible human polyomavirus", Martini
et ses
collaborateurs confirmèrent la présence du rétrovirus
SV 40 dans 83 % des papillomes du plexus choroïde, 75 % des épendymornes,
47 % des astrocytomes, 37 % des glioblas-tomes, 35 % des ostéosarcomes,
et dans les tumeurs d'Ewing. Leurs travaux confirmaient ainsi ceux
de carbone. "Un taux élevé des néoplasmes
cérébraux a été noté dans les
groupes de personnes vaccinées. Dans cette étude
comme dans les autres, une pré valence élevée
de SV 40 a été détectée dans les tumeurs
du cerveau et des os qui affectent les enfants en bas âge." (cf.
Huang H, and Al., "Identification in human brain tumors of
DNA séquences spécifie for SV 40 large T antigen",
in Brain Pathology, 9 janvier 1999).
En mai 1998, une équipe française a également
mis en évidence la présence d'ADN "SV 40-like" dans
des prélèvements tumoraux, mais également
dans des prélèvements pulmonaires non tumoraux (cf.
Galateau-Salle E, et al. "SV 40-like DNA séquences
in pleural mesothelioma, bronchopulmonary diseases", in Journal
o/Pathology, 184, pp. 252-257, 1998). Le terme "SV 40-like" s'applique à un
virus ayant une séquence virale proche du SV 40. Il pourrait
alors s'agir, soit du virus SV 40 lui-même, soit d'un virus
SV 40 recombiné, soit d'un virus humain proche du SV 40
qui pourrait résulter d'une mutation à la suite d'une
infection par le virus SV 40.
Cette même année, Michel Tibon-Cornillot, du ministère
de la Santé, a déclaré au cours d'un débat
public, Science Actualités, que six cents millions de personnes étaient
concernées à travers le monde.
À ce sujet, comment peut-on oser continuer à utiliser
le virus SV 40 dans les techniques de génie génétique,
ainsi que dans le vaccin anti-hépatite B de chez Pasteur-Mérieux
?
Nous avons ainsi été confrontés à l'une
des plus grandes catastrophes médicales de notre histoire
sans que nos autorités ne s'en émeuvent et dans un
silence général. Malgré des preuves scientifiques
irréfutables, les autorités scientifiques et politiques
occidentales ont privilégié le profit économique
du mirage génétique et autorisé l'utilisation
des fragments du génome d'un virus du singe dangereux pour
l'homme, dans la fabrication d'un vaccin universellement recommandé.
Dans l'un de ses récents bulletins, l'OMS s'est félicitée
de la vigilance de l'opinion publique devant les risques éventuellement
liés aux vaccinations et aux démarches thérapeutiques.
Il n'y a guère que l'OMS et quelques fanatiques qui ont
observé la "vigilance de l'opinion publique" devant
ces risques qu'elle ignore évidemment.
Quant aux experts de l'OMS, ils n'envisagent aucunement la confirmation
d'une transmission verticale génétique des parents à l'enfant,
ou horizontale, par relation sexuelle ou transfusion sanguine avec
le risque ultérieur de réveil de virulence ou de
mutation secondaire, (cf. Bulletin de l'OMS, recueil n°3, 2000).
Dans le cas de la contamination du vaccin contre la polio, les
services du ministère français de la santé ont
certes pris connaissance des publications scientifiques, mais leurs
résumés, superficiels et tendancieux, révèlent
l'ignorance de centaines de publications scientifiques, indépendantes
des lobbies pharmaceutiques et dont les auteurs ne recevront sans
doute jamais le Prix Nobel.
À présent le vaccin Salk est débarrassé du
SV 40, mais il n'est pas sans danger pour autant.
On lui a longtemps préféré le vaccin Sabin,
du nom de celui qui le mit au point, préparé suivant
une nouvelle technique, avec des singes verts d'Afrique, non porteurs
du virus SV 40, car son emploi est plus facile. Cependant, malgré "l'innocuité du
vaccin", l'OMS considère qu'il est "indispensable
que tout programme de vaccination contre la poliomyélite
comporte un système de surveillance continue et efficace",
ce qui n'est jamais pratiqué, (cf. WOH Consultative group
- Bull. O.M.S-1969 - 40 : 925-943). À présent, ce
vaccin, "tellement fiable" est déconseillé en
France où on l'a remplacé par le vaccin Lépine,
qui contient le virus inactivé cultivé sur la souche
Véro.
Le vaccin est-il efficace ?
Aux États-Unis, la vaccination contre la polio a débuté en
1954 avec le vaccin Salk. Or, dès 1955, l'État du
Vermont signalait une augmentation de 266 % des cas de polio, le
Rhode Island 454 %, le Massachusetts 642 %. Malgré ces constats
et bien d'autres, on a continué à l'administrer en
garantissant son innocuité jusqu'en 1963.
En 1986, une sérieuse épidémie de poliomyélite
s'abattit sur une zone d'Afrique de l'Ouest qui avait respecté les
recommandations de l'OMS en pratiquant sur une grande échelle
la vaccination de cette maladie que l'on estimait alors en voie
d'éradication. Or, non seulement la vague épidémique
n'a pas épargné cette région, mais près
de deux cents des enfants que l'on pensait correctement vaccinés
ont contracté la maladie. Certains en sont morts (cf. Le
Monde du 2 février 1987).
D'après Jarna {Journal of American Médical Association),
entre les années 1988 et 1993, il n'existe pas de rapport
proportionnel entre la couverture vaccinale et le nombre de cas
de poliomyélite déclarés. Ce constat se base
sur les chiffres fournis par l'OMS pendant ce laps de temps.
Grâce à l'amélioration des conditions d'hygiène,
la poliomyélite avait disparu en Albanie, comme dans bien
d'autres pays. Malheureusement, le gouvernement et les autorités
sanitaires de ce pays ont décidé de pratiquer une
vaccination de masse dans le cadre d'une campagne de prévention
de la polio (cf. Revue du praticien, 14 octobre 1996, p 3). Entre
le 8 et le 13 avril 1996, on a ainsi administré le vaccin
Sabin à virus vivant "atténué" à la
population de tout âge. Selon les statistiques officielles,
qui ont plutôt tendance à minimiser les chiffres réels,
on a enregistré quatre-vingt-dix cas de poliomyélite,
dont douze mortels.
Le 20 janvier 2002, nous apprenions la découverte du virus
de la polio dans l'état de Bihar, en Inde, chez un bébé de
9 mois, vacciné contre ce virus dans le cadre du programme
d'immunisation organisé par le gouvernement et l'OMS. Au
début du mois suivant, un enfant de 4 ans, vacciné dans
le cadre du même programme, avait présenté un
virus identique.
Ces deux accidents, survenus en moins d'un mois et à la
veille d'une autre vaccination de masse au Bihar, ont soulevé des
doutes sur le succès de la campagne vaccinale menée
par le gouvernement et sont un camouflet pour les officiels de
la Santé et l'OMS qui avaient annoncé un succès
total de leur campagne.
Un responsable de la Santé a admis que la campagne d'éradication
de la polio s'est révélée être un échec
dans le nord du pays et que des millions de roupies avaient été gâchées.
D'après lui, entre mars et septembre 2001, 19 enfants âgés
de 7 à 49 mois ont été atteints par la maladie
bien qu'ils aient reçu de 1 à 10 doses de vaccin
anti-polio, 18 enfants étaient porteurs du virus PI et un
autre enfant du virus P3. D'après les experts pédiatres,
il serait possible que le virus attaque les enfants, même
vaccinés, si leur système immunitaire est affaibli,
car ils ne développeraient pas d'anticorps contre le virus
PI. (Sources Imran Khan, Indo-Asian News Service et G Vinayak à Guwahati).
En Angola, le 23 août 2005, 7 cas de poliomyélite
avaient été notifiés alors que la maladie était
absente du pays depuis 2001. Le 24 juin 2005, le Ministère
de la Santé de l'Angola avait notifié un cas de poliomyélite
chez une petite fille de 17 mois qui avait reçu le vaccin
antipoliomyélitique buccal. Le séquençage
génétique de ce poliovirus sauvage de type 1 montrait
qu'il était originaire de l'Inde et les données virologiques
et épidémiologiques évoquaient une importation
récente. L'enfant affectée et sa famille n'avaient
pas voyagé. L'enquête n'a pas révélé de
propagation au-delà de la communauté.
Au Yémen et en Indonésie, en 2005, les épidémies
ont continué de progresser (415 cas au Yémen, 225
en Indonésie. Les provinces touchées sont Java-Ouest,
Java-Centre, Banten, Lampung et Jakarta) et le Nigeria se maintient
au même niveau qu'en 2004. L'OMS s'inquiète que le
virus se répande dans d'autres parties de l'Asie du sud-ouest.
Quant au Nigeria, la transmission à grande échelle
des poliovirus de type 1 comme de type 3 se poursuit dans le nord
du pays. Avec 770 cas signalés en 2005, le Nigeria a tota¬lisé 40
% de l'ensemble des cas mondiaux. Le sud du pays est épargné par
la maladie, étant donné qu'aucune transmission du
virus autochtone ne s'est produite dans cette région en
2005.
Le 16 mars 2006, l'OMS signalait un cas de poliomyélite
au Bangladesh, le premier depuis août 2000. Ce cas concernait
une fillette de neuf ans du district de Chandpur dans la division
de Chittagong, la paralysie remontant au 23 janvier. Le séquençage
génique du virus par le Global Specialized Polio Laboratory
de Mumbai (Inde), qui analyse tous les prélèvements
provenant du Bangladesh, a montré que le virus est étroitement
apparenté à ceux de l'ouest de l'Uttar Pradesh en
Inde. En 2006 l'Inde a déclaré 7 cas de polio à virus
sauvage.
À peine publiés, les bilans sont dépassés
et l'OMS ne sait plus où distribuer le vaccin. Ainsi, "Péradication" promise
par l'OMS n'est pas pour demain, en dépit des vaccinations
de masse pratiquées dans tous ces pays.
En 1988, l'Assemblée mondiale de la Santé (WHA)
a défini l'éradication de la poliomyélite
comme "l'interruption de la transmission du poliovirus sauvage à l'échelle
internationale". Toutefois, les plus récentes données
scientifiques démontrent que l'éradication de la
poliomyélite nécessite également l'arrêt
de l'utilisation systématique du vaccin, sinon la réintroduction
continue des poliovirus, même atténués par
la vaccination, aboutira à des épidémies de
poliomyélite générées par l'existence
de poliovirus circulants dérivés d'une souche vaccinale.
Après l'éradication du virus sauvage, le virus vaccinal
pourrait emprunter les mêmes routes par le biais des eaux
usées, et les épidémies persisteront.
Les effets indésirables
Une enquête, réalisée par l'OMS et concernant
huit pays entre les années 1970 et 1974, révèle
que sur 360 cas de poliomyélite à forme paralytique,
205 étaient indubitablement associés à la
vaccination. Or, on sait que l'OMS aurait tendance à minimiser
ce genre d'affaire plutôt qu'à l'amplifier.
Les nombreuses publicités pour les vaccinations ne feront évidemment
jamais état de ces "bavures médicales".
D'autant qu'elles se sont produites dans des pays éloignés,
considérés comme sous-développés, et
que personne ne portera plainte, ce qui arrange bien ceux qui profitent
de ces campagnes vaccinatoires.
Les vaccinés peuvent être porteurs et transmetteurs
de virus poliomyélitiques par voie intestinale et peut-être
par d'autres voies et risquent ainsi de contaminer le reste de
la population.
En outre, le 20 septembre 1969, le Concours médical révélait
qu'une étude réalisée en Allemagne de l'Ouest
en 1962 avait prouvé une modification très significative
des entérovirus, hôtes habituels de l'intestin, après
la vaccination. La quantité de poliovirus diminuait de 78
% alors que les virus Écho et Coxsachie augmentaient de
455 %. Ainsi, une vaccination peut déclencher un énorme
déséquilibre écologique qui modifie le comportement
des virus inoffensifs qui peuvent alors devenir pathogènes.
Le vaccin Sabin actuel contient de la néomycine et il est
donc susceptible de déclencher des réactions allergiques
dont le fameux choc anaphylactique.
En outre, la vaccination antipoliomyélitique prédispose à la
tuberculose (cf. la Revue de pathologie générale
et de physio¬logie clinique, janvier 1958).
Le Dr Salk lui-même a affirmé que le vaccin Sabin était
responsable de la plupart des cas de poliomyélite. Il s'agit
en l'occurrence d'un concurrent, mais celui-ci n'aurait pas pu
porter une telle accusation sans être certain de son fait.
Actuellement, exacerbé par la vaccination antidiphtérique,
le virus de la polio provoque des vagues épidémiques
en Afrique et en Asie dans des zones à hygiène précaire
où circulent encore des virus sauvages. Le 5 avril 1995,
France-soir signalait que 11 enfants venaient de mourir dans un
village du Bengale à la suite de vaccinations contre la
poliomyélite. Rendus furieux, les villageois avaient mis
le feu à une clinique, attaqué les médecins
responsables, et incendié les véhicules officiels.
Ailleurs, seuls les virus vaccinaux sont à l'origine de
la maladie. Une dépêche de l'AFP du 1er février
1997 signalait que "la quasi-totalité des cas de poliomyélites
recensés aux États-Unis de 1980 à 1994 ont été causés
par l'administration
du vaccin oral atténué".
En 1979, on a abandonné la vaccination antivariolique car
ses effets secondaires étaient plus graves et plus nombreux
que la maladie elle-même, il est permis de se demander pourquoi
on n'applique pas ce principe de précaution pour la polio.
Panorama du Médecin (n° 4165-1995) demandait si, en
l'an 2000, les médecins accepteraient toujours de vacciner
contre la poliomyélite au prix de "quelques paralysies
iatrogènes". Ils l'acceptent toujours ! Peut-être
parce qu'ils ne connaissent pas, et de loin, toutes les parutions
sur le sujet et aussi parce que les paralysies post-vaccinales,
dites "à forme poliomyélitique" ne sont
pas déclarées comme de véritables poliomyélites.
En effet, depuis la "disparition" de la poliomyélite,
les méningites virales ont explosé. Dans un rapport
californien sur les maladies contagieuses, on peut lire le chiffre
zéro à côté de la polio, mais un astérisque
indique : "Ces cas sont à présent classés
sous la rubrique des méningites". Voilà comment
on "éradique" certaines maladies et l'on fausse
totalement l'information...
En vérité, il y a eu dans le monde 1 255 cas en
2004 et 1 414 cas au 25 octobre 2005.
Quelle alternative ?
Ceux qui ont "peur" de la maladie doivent savoir que
le traitement à base de chlorure de magnésium est
très efficace comme le prouvent les témoignages du
Dr Neveu, n'en déplaise à J. Skomska-Godefroy qui
parle avec dérision de ce traitement dans le livre L'Aventure
de la vaccination. De son temps, Henri Geffroy avait proposé de
soigner des cas de poliomyélites avec le traitement du Dr
Neveu qui accepta le risque d'être déconsidéré par
ses collègues s'il échouait. Mais le Pr. Lépine
refusa, estimant cette expérience superflue. Sans doute
craignait-il de devoir reconnaître que cette méthode
présentait moins de risques que le vaccin, tout en étant économique
et d'un emploi facile.
Nombre de médecins conseillent la vitamine C à hautes
doses dans le traitement de toute maladie virale. Dans son ouvrage
La poliomyélite : quel vacccin ? Quel risque ? le Dr Jean
Pilette préconise diverses méthodes pour prévenir
et guérir la maladie, dont le vaccin homéopathique
et le Lathyrus en doses homéopathiques. La thérapie
par l'iode colloïdal contrôlerait la poliomyélite
aiguë (Travaux des Dr Ortiz et Calcada de Mexico et du Dr
R.R.Scoby de Syracuse).
Et, surtout, n'oublions pas que le virus est détruit autour
de 39 à 40°, et, si on permet à la température
de monter ainsi, sous étroite surveillance évidemment,
aucune séquelle ne devrait subsister.
|